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Les exercices sur l’orthographe française, par MM. Noël et Chapsal, ofl’rent, à la vérité, un excellent choix de phrases instructives que ces deux savants littérateurs ont puisées dans nos meilleurs écrivains ; mais elles sont beaucoup trop faciles pour des élèves avancés, et le cours demandait à être complété.

Des dictées, composées tout exprès pour offrir des difficultés grammaticales, ne peuvent pas être prises pour des modèles de style, puisqu’on est souvent obligé d’y employer des répétitions oiseuses, des phrases banales, des constructions dures et choquantes, enfin, des tournures et des expressions dans le style de Chapelain dont Boileau a dit: Maudit soit l’auteur dur dont l’âpre et rude verve, Son cerveau tenaillant, rima malgré Minerve, Et, de son lourd marteau martelant le bon sens, A fait de méchants vers douze fois douze cents.

Les morceaux que j’ai choisis ne sont quelquefois que des paraphrases de quelques idées que j’ai trouvées dans des auteurs grecs, latins ou français. Quand j’ai traduit des passages de Salluste, de Tacite, etc., je n’ai nullement cherché à donner une traduction exacte, puisque j’ai été obligé de torturer en quelque sorte mes phrases pour faire naître des difficultés de syntaxe. J’ai seulement conservé le fond et quelquefois cependant des phrases entières. Il n’y a point lieu de crier au plagiat, puisque le prévenu fait l’aveu de sa faute.

Un grand nombre de dictées sont le produit de l’imagination ou de quelques réminiscences ; ce sont les développements de quelques idées qui sont venues se ranger sous ma plume. J’implore, pour ce faible mérite, l’indulgence et les conseils des hommes éclairés, qu’une longue habitude d’étudier et d’enseigner a mis au niveau des plus hautes questions de grammaire, et qui ont, en quelque sorte, mis une justesse géométrique dans tous leurs raisonnements, à force d’analyser et d’approfondir les systèmes.

Je serai complétement satisfait si je puis être utile à quelques-uns de mes confrères, et surtout à la jeunesse pour laquelle je ferai volontiers le sacrifice de tous les moments de loisir que me laissent les fonctions de l’enseignement.

ALAIN GOUZIEN.

NOTA. — Cette préface était écrite par mon père pour le recueil de ses dictées que je publie aujourd’hui.


DICTÉES FRANÇAISES

1. – LA RENTRÉE DES CLASSES.

JEUNES ÉLÈVES, PREMIÈRE DICTÉE. — En reprenant aujourd’hui les études que vous avez suspendues pendant deux mois pour être capables (SUSCEPTIBLES) de les continuer ensuite avec succès, vous êtesvous bien pénétrés des vérités que nous nous sommes fait (FAITS) un plaisir ou plutôt un devoir de vous exposer à fa fin de l’année scolaire qui s’est écoulée ? Vous êtes-vous rappelé la (RAPPELÉ DE LA) touchante cérémonie qui l’a terminée? J’aime à croire (J’AIME CROIRE) qu’elle ne s’est point effacée de vos cœurs cette vive et (VIVE ET CETTE) profonde impression, qu’a excitée en vous la joie délicieuse et pure d’avoir participé à la distribution des récompenses, de vous être entendu (ENTENDUS) applaudir, et de vous être vu couronner par vos maîtres. Vous n’avez point oublié non plus (AUSSI) ces regrets que vous avez ressentis, lorsque vous vous êtes vu refuser la couronne que vos heureux condisciples ont remportée.

Quel but vous êtes-vous proposé (PROPOSÉS) en reprenant vos études? Vous ne vous êtes point proposé sans doute d’être en butte aux reproches et aux sarcasmes de vos parents et de vos maîtres (ET MAÎTRES). Il faut que vous rentriez (RENTREZ) dans la lice avec résolution, quelle que soit (QU’EST) votre infériorité, quelque faibles que puissent (PEUVENT) être vos moyens, quelque redoutables rivaux que vous croyiez cevx que vous avez à (CEUX. A) combattre, quelques difficultés même que vous ayiez (1) rencontrées (RENCONTRÉ) à votre début dans la lutte. Il ne faut pas que vous oubliiez que vous avez, dans la per-

(1) Nous conservons l’i après l’y pour la raison que nous avons indiquée dans noire grammaire, page 41 (observations snr l’auxiliaire avoir).


sévérance, un moyen infaillible de vous venger de la défaite que vous avez essuyée, et de vous assurer de brillants triomphes pour l’avenir.

DEUXIÈME DICTÉE. — Que de chagrins ne vous ont pas coûtés les dernières années que vous avez vécu dans l’oubli p de vousmêmes, puisque vous les avez passées dans l’inaction et l’ignorance (ET DANS L’IGNORANCE) ! Autant vous avez éprouvé de peine quand vous vous êtes rendu compte , de votre incapacité, autant (ET AUTANT) vous en auriez éprouvée encore, si vous ne vous étiez (SERIEZ) proposé de vous livrer à l’étude, avec une ardeur toute (TOUT) nouvelle. Je ne doute pas que, par un travail soutenu, vous n’ayiez (AYIEZ) bientôt .triomphé de toutes les difficultés qui vous ont arrêtés jusq u’ici. Je ne désespère pas que, sur la fin de votre carrière littéraire, vous n’ayiez (AYIEZ) surpassé quelques-uns de vos condisciples qui se sont trop reposés sur les heureuses dispositions qu’ils ont reçues de la nature ; et vous ne nierez pas que je n’aie (J’AIE) de (DES) bonnes rai- sons pour en être convaincu.

TROISIÈME DICTÉE. — Que votre conduite soit donc tout autre qu’elle n’a été (QU’ELLE A ÉTÉ) jusqu’à ce jour, et vous égalerez bientôt ceux qui vous ont (CEUX vous AYANT) surpassés, parce qu’ils se « sont livrés tout (TOUS) entiers à l’étude. Menez une vie tout active, toute laborieuse ; réparez les instants que vous avez avoué que vous avez si (AUSSI) souvent perdus, et que vous avez jugé nécessaire de réparer (QUE vous RÉPARIEZ) le plus tôt possible. L’attention que nous sommes convaincus que vous avez prêtée à nos dernières leçons, et que nous vous avons annoncé que vous mettriez à profit plus tard, est pour nous un sûr garant de votre application et de vos succès futurs. Soyez constants dans cette résolution ; toute autre conduite serait pour vous-mêmes un sujet de disgrâces et de chagrins. Voilà (YOICI) le motif pour quoi nous nous sommes crus (CRU) en droit de vous donner les conseils que nous avons jugés (JUGÉS QUI SERAIENT) nécessaires (NÉCESSAIRE) à votre bonheur ; voilà (YOICI) aussi pourquoi nous nous sommes cru le droit de vous faire de (DES) vives remontrances, tant (AUTANT) qu’elles seraient provoquées par vos intérêts les plus chers, et par toute (ET TOUTE) l’affection que nous vous avons vouée pour la vie.

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2. – SUe LA GRAMMAIRE.

PREMIÈRE DICTÉE. — Combien de volumes n’a-t-on pas écrits sur la langue française depuis quelque deux cents CENT) ans, c’est-à-dire, depuis l’époque où elle s’est perfectionnee, jusqu’à nos jours où elle a reçu d autres perfectionnements. Les critiques nous font observer (NOUS 1 OBSERVENT) que les difficultés ont paru augmenter, à mesure qu’on (QUE L’ON) a travaillé à les éclaircir.

En effet, plus on a écrit d’ouvrages sur cette matière, plus (ET PLUS) on a cru nécessaire d’en publier de (DES) nouveaux.

Quelques grands efforts qu’on ait (A) faits, quelques moyens artificieux qu’on ait (A) employés, quelque lumineux que soient (SONT) les systèmes qu’on a proposes (PROPOSÉ) à suivre, et quelque savantes gens qu’on ait jygé (A JUGÉS), avec raison, quelques-uns des écrivains qui stf sont proposé et qui se sont crus (ET CRUS) capables (SUSCEPTIBLES) de donner un cours complet ues difficultés raisonnées de la langue française, tous (TOUTES) les gens du monde, et même tous (TOUTES) les habiles gens qui se sont laissés (LAISSÉ) aller au désir d’écrire purement, sont (ONT) restés dans des incertitudes d’où (DONT) ils ne sont pas sortis.

DEUXIÈME DICTÉE. — Les grammairiens mêmes, quoi , qu’ils aient (ONT) fait, quelque chose qu’ils aient (ONT) imaginée pour publier là-dessus quelque chose qui fût plus satisfaisant (SATISFAISANTE) et plus complet la recherche d’un avocat meaux est longue (COMPLÈTE), sont (ONT) restés dans des doutes que nous savons avoir été (QUI ONT ÉTÉ) très-longs à éclaircir. Par ce que nous avons lu et compris en exarninant (FIXANT) attentivement les règles qu’ils ont données, nous avons jugé que beaucoup de difficultés étaient (AVAIENT) restées (RESTÉ) à résoudre, parce qu’on n’a pas dit les raisons pour quoi telle ou telle opinion l’aurait emporté sur toute autre. Pourquoi donc a-t-on rencontré tous ces obstacles ? N’a-ce pas été la faute des premiers écrivains, qui ne sont pas excusables (PARDONNABLES) d’avoir établi chacun ses (LEURS) règles, sans avoir préalablement consulté l’usage, qui aurait dû servir d’arbitre plutôt que l’obscur raisonnement des m étaphysiciens. Car ceux-ci ont proposé chacun (CHAQUE) une opinion toute (TOUT) différente, tout opposée. S’ils avaient attendu (ESPÉRÉ) quelques années encore pour publier leurs opinions, ils se seraient convaincus que, d’un demi-siècle à un demi-siècle et quelquefois plus tôt, il s’est opéré dans les langues des changements considérables (CONSÉQUENTS).


TROISIÈME DICTÉE. — On a signalé de (DES) nouveaux abus, on a mis en évidence, on a montré du doigt des erreurs de plus en plus grossières (PLUS GROSSIÈRES LES UNES QUE LES AUTRES), de sorte que les anciens réformateurs si (AUSSI) recommandables qu’ils aient (ONT) été, et quelque grands génies qu’on les ait crus (A CRU), à l’époque ou ils ont écrit, ont perdu successivement leur mérite, quand la langue s’est enrichie de (DES) nouvelles expressions, cle (DES) nouveaux tours, et quand, aux raisonnements qu’ils ont donnés, ils n’ont pas ajouté une certaine prédiction des écarts par lesquels (PAR QUI) la langue se serait corrompue.

C’étaient des erreurs qu’on avait déjà signalées, c’étaient des erreurs mêmes commises par leurs prédécesseurs qu’ils voulaient nous garantir. Qu’était ce que ces abus ? C’étaient des fautes réelles contre la langue. Avant de l’avoir étudiée à fond , nous ne savions pas encore ce que c’était que ces prétendues règles auxquelles (à QUI) on a donné tant d’exceptions depuis cette époque.

QUATRIÈME DICTÉE. — Quant aux raisons que les grammairiens anciens et les modernes (ET MODERNES) ont cru convenable de produire pour appuyer leurs systèmes, nous les avons trouvées (TROUVÉ) aussi bonnes que possible, mais quelles que nous les ayions jugées, nous avons été forcés de convenir que plusieurs questions sont (ONT) restées à résoudre. Nous pensons et nous penserons (ET PENSERONS) toujours qu’il faut essayer de perfectionner cette langue qui doit être perfectionnée (L’ÊTRE) pour nous plus que toute autre, puisque c’est notre langue nationale.

Nous ne disconviendrons pas que ce ne soit (C’EST) la première à connaître à fond. Plus d’une règle est (SONT) encore aujourd’hui tout obscurité et toute (TOUT) confusion. Qu’était-ce que toutes ces règles établies par les uns, rejetées par les autres, ces règles qui (QUI) ont si souvent tenu les écrivains en suspens, dans une nésitation fâcheuse ? Que seraient même d’autres règles établies sans être sanctionnées par l’usage ? C’est lui l’arbitre de toutes les langues, et c’est de l’usage des bons écrivains que (DE QUI) nous parlons ici. C’est dans les chefs-d’œuvre de notre littérature que (où) nous devons puiser tous nos principes. Ils nous offrent un grand nombre de modèles d’élégance et de clarté. Songeons bien que la langue la (LE) plus claire est aussi la (LE) mieux faite. La nôtre s’est piquée avec raison d’être aujourd’hui la première des langues parlées (DE CELLES PARLÉES) en Europe. Il ne faut pas que nous oubliions que c’est toujours quand une langue est le (LA) plus claire, qu’elle est aussi le (LA) plus belle et le (LA) mieux faite : la (SA) clarté en fait la perfection (FAIT SA PERFECTION).


CINQUIÈME DICTÉE. — Messieurs, êtes-vous les grammairiens dont nous avons parlé? Nous ne les (LE) sommes pas. — Vous êtes cependant grammairiens ? Oui, nous le (LES) sommes. Mais nous ne sommes trouver un avocat meaux divorce n’est pas aisé pas les premiers qui aient (AYIONS) relevé quelques erreurs dans vos grammaires ; nous ne sommes pas les seuls qui aient (AYIONS) reconnu les contradictions des Domergue, des Restaut, des Noël, etc., et ce ne serait pas à nous qu’il (A QUI IL) serait permis de dire : il n’y a que nous qui puissions (PEUVENT) être regardés comme des grammairiens consciencieux ; d’autres nous out précédés ou suivis : témoin les Girard, les Favre, etc. Nous sommes trois qui avons (ONT) proposé des règles que nous avons crues plus rationnelles que les règles établies (QUE CELLES ÉTABLIES) par quelques grammairiens vulgaires, qui se sont laissés (LAISSÉ) aller à mille erreurs, parce qu’ils ne se sont pas donné la peine de réfléchir sérieusement sur les principes qu’ils ont proposés (PROPOSÉ) à suivre. Nous ne sommes pas pour cela des Racine ni (ET) des Voltaire, ces hommes illustres qui ont fait des remarques si (AUSSI) savantes sur la langue.

Qu’êtes-vous devenus, poëtes cminents (IMMINENTS), qui avez (ONT) illustré la scène française? Vous avez (ÊTES) disparu comme tout disparaît ici-bas (TOUT ICI-BAS), mais vos chefs-d’œuvre nous sont (ONT) restés, et c’est là que (C’EST EN EUX EN QUI) nous cherchons encore nos meilleurs modèles.

3. – PREUVE METAPHYSIQUE DE L’EXISTENCE DE DIEU.

Nous sommes obligés de convenir, quel que soit (SONT) notre aveuglement ou notre mauvaise foi, que chacun (CHAQUE) de nous renferme en soi-même (LUI-MÊME) un principe pensant séparé de toute matière. Or, l’existence de ce principe a une liaison tout étroite avec l’existence de Dieu. En effet, ou notre âme s’est créée elle-même (SOI-MÊME), ou elle a reçu l’existence de la matière, ou, enfin, elle l’a reçue de Dieu. Les deux premières suppositions ou hypothèses, toutes (TOUT) fausses et tout absurdes qu elles sont (SOIENT), ont été soutenues par certaines gens extravagants (EXTRAVAGANTES) qui se sont obstinés à les discuter. Mais, quelques difficultés qu’ils aient (ONT) soulevées, quelque convaincantes que leur aient (SONT) paru les preuves qu’ils ont données, quelque savantes (SAVANTS) gens enfin qu’on les croie, et que nous les croyions nous-mêmes, nous ne nous sommes point laissé convaincre par leurs sophismes, et nous nous sommes dit que, si notre âme avait (AURAIT) reçu son existence dl elle-niême (DE SOJ-MÈME), elle se serait créée toute (TOUT) parfaite : car aucune cause n’aurait mis des bornes a sa


perfection. Personne ne niera cependant qu’il n’y ait (QU’IL Y AIT) dans les hommes bien des imperfections. Combien n’en a-t-on pas eues à corriger par l’éducation morale ! Notre âme ne s’est donc pas faite elle-même (SOI-MÈME) ; d’un autre côté, elle n’a pas été créée par la matière : car ce qui est dans (DEDANS) l’effet doit être renfermé dans la cause ; or, la matière n’a jamais eu la faculté de penser ; c’est donc à tort qu’on (QUE L’ON) 1 aurait regardée comme ayant créé notre âme, qui ne peut véritablement être que l’œuvre de Dieu.

4. – PREUVE HISTORIQUE ET MORALE DE L’EXISTENCE DE DIEU.

PREMIÈRE DICTÉE. — L’existence de Dieu est prouvée par le consentement unanime des peuples ; tous sont (ONT) convenus qu’il y a (AVAIT) un être suprême, tous sont (ONT) tombés d’accord sur ce principe fondamental, quelques climats qu’ils aient (ONT) habités, quels qu’aient (ONT) été leurs caractères, leurs mœurs, leurs idées religieuses. Les traditions constantes, c’est-à-dire celles qui se sont succédé (CELLES S’ÉTANT SUCCÉDÉ) sans interruption jusqu’à nous, les annales que nous ont laissées quelques hommes d’élite, les monuments de tous les âges, de tous les pays, ont toujours constaté et ont dû nous convaincre que toutes les natiuns du monde, quelle qu’on ait (A) jugé leur ignorance ou leur savoir, quelque sauvages ou quelque civilisées qu’on les ait (A) crues, ont admis avant (AUPARAVANT) toute autre chose, le principe de l’existence d’un souverain maître, qui domine et qui règle (QUI DOMINAIT ET RÈGLAIT) le monde.

DEUXIÈME DICTÉE. — Ç’a été le premier article de foi que les peuples ont mis en pratique : car ils ont rendu un culte à cet être suprême. Que serait-ce donc que ces lois établies sur la religion de temps immémorial ? Qu’était-ce que ces sacrifices que nous avons sus avoir été faits? (QUI ONT ÉTÉ FAITS). Qu’était-ce enfin que ces cérémonies qu’on a vu célébrer (QUI ÉTAIENT CÉLÉBRÉES) dans des temples érigés (ÉRIGÉ) en l’honneur de la Divinité? Ce devaient être les manifestations des idées religieuses des peuples ; et, de nos jours encore, les philosophes ou tous (TOUTES) les gens censés tels se sont accordés sur ce point fondamental : témoin les institutions religieuses qu’on a trouvées établies (QUI ÉTAIENT ÉTABLIES) chez les peuples le (LES) plus nouvellement découverts.

Combien de preuves convaincantes n’en avons-nous pas trou-


vées , dans les relations que nous ont laissées ces navigateurs qui ont pénétré les premiers dans (DEDANS) les demeures lointaines des Brésiliens, des Mexicains et des autres peuples qu’on a découverts depuis quelque quatre cents (CENT) ans, c’est-à-dire vers l’an mil quatre cent quatre-vingt-douze !

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